Dans le cadre du cycle "En douce"
Dimanche 22 Janvier 2012
Ouverture des portes à 16h Séance à 17h
Venez prolonger le dimanche autour d'une projection et d'un gouter
Au 1, rue consolat / 1
rue consolat 13001/métro
réformés/tram
réformés
Città STATTO
Dans le sud de l'Europe est encore en
vigeur aujourd'hui la force d'une vrai “ville état”, moyen
fondamental à la machine d'un pouvoir étatique national. Ici les
hommes des partis politiques et les mafieux, les syndicats et les
chefs d'entreprises, les magistraux, les cardinaux, camouflent le
désordre avec l'ordre.
Ils perpétuent une gestion expérimentale de la vie des masses, basée sur le vol et la corruption, pendant que les pratiques mondiales se succèdent égales à elles mêmes: guerre, crise, actions toxiques insérées dans le marché, injection de liquidités monétaire, exploitation.
Ils perpétuent une gestion expérimentale de la vie des masses, basée sur le vol et la corruption, pendant que les pratiques mondiales se succèdent égales à elles mêmes: guerre, crise, actions toxiques insérées dans le marché, injection de liquidités monétaire, exploitation.
Ce film est né d'un acte illégal,
seul acte possible.
Ouaga!
Hommage a l'homme du 4 aout
(expérience sensitive d'une ville africaine)
Un fim de giuseppe Spina, Julie Ramaioli, Alessandro Gagliardo, 2008, 11 mn, Essai
(expérience sensitive d'une ville africaine)
Un fim de giuseppe Spina, Julie Ramaioli, Alessandro Gagliardo, 2008, 11 mn, Essai
Ouaga!
c’est une recherche de l’être qui passe au travers de la
conjonction d’un mouvement cinéma à un mouvement voyage et vice
et versa. L’élan est pulsion.
Rien n’est construit au moment de la prise de vue, tout est montré comme un flux continu d’images, de signes, de parole éparses.
La construction du montage n’est pas un processus de reconnaissance et d’organisation du matériel. L’image est décomposée à partir du sentir qui ne veux jamais tendre à de l’esthétisme, mais qui nait comme seule transposition de l’instinct.
Les auteurs du film se retrouvent dans une seule figure, celle d’un voyageur, la voix de Thomas Sankara est réinventée, réécrite, réinterprétée à partir du doute d’un homme, d’un pays ou de l’histoire même.
Rien n’est construit au moment de la prise de vue, tout est montré comme un flux continu d’images, de signes, de parole éparses.
La construction du montage n’est pas un processus de reconnaissance et d’organisation du matériel. L’image est décomposée à partir du sentir qui ne veux jamais tendre à de l’esthétisme, mais qui nait comme seule transposition de l’instinct.
Les auteurs du film se retrouvent dans une seule figure, celle d’un voyageur, la voix de Thomas Sankara est réinventée, réécrite, réinterprétée à partir du doute d’un homme, d’un pays ou de l’histoire même.
En partenariat avec Nomadica (Circuit pour le cinéma autonome, Sicile, Italie)
Adhésion au local 3 euros
Caisse participation libre
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